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Homework!

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Kinsler
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1Homework! - Page 2 Empty Homework! Wed Nov 12, 2008 6:21 pm

K!ll3R

K!ll3R
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Ive work a lot on this so those who can must read it lmao

yea btw its an analyse of a police scene!! I got 88% for this!

Question 2
Dans ce travail, je vais analyser une scène policière qui met en scène deux policiers et un homme de race blanche. Les policiers vont être appelés pour une bagarre de rue, mais vont finalement se rendre compte que c’est un homme qui a tenté de faire peur à des enfants avec un bâton. Je vais analyser cette scène en fonction des techniques d’écoute, des principes de la communication, des modes de communications et un retour sur des parties de la communication non verbale.
Observation
En arrivant, les policiers observent tout de suite un individu partant à courir et le pourchassent jusque dans une petite ruelle. Ensuite, ils observent bien le suspect puisque celui-ci peut faire n’importe quel geste et possiblement agresser les policiers. Son observation à ce moment n’est pas seulement pour leurs sécurités, mais aussi parce qu’en le regardant et en décodant ses gestes non verbaux il soit plus apte à savoir son attitude et pouvoir agir en conséquence. Il peut aussi voir que Josée se rend compte que l’homme a un masque et peut par la suite incorporer cet élément dans ses questions.
Écoute
Je m’exprime
Au niveau des questions posées, la plupart sinon toutes les questions étaient bien claires, précises et brèves. Par exemple, lorsque le policier demande au suspect : pourquoi n’avez-vous pas appelé la police? Cette question est claire et précise, l’individu n’a donc pas d’interprétation à faire de la question. Cette question peut être perçue d’une façon accusatrice, mais selon moi, elle ne l’est pas puisque les policiers ont utilisé un fait (le fait qu’il n’a pas appelé la police) et lui ont demandé la raison de cet agissement. Cette question peut mener à des renseignements importants. La seule chose à faire attention est le ton de la voix lorsque l’on exprime ce genre de question puisque ceci peut changer une question ouverte et très bien utilisée en une question accusatrice qui peut provoquer un conflit. Les policiers ont aussi réussi à rester dans le sujet et à ne pas se laisser distraire. Lors de la fin de l’intervention, l’homme a commencé à parler de la résidence des enfants et qu’il peut les guider vers ceux-ci, toutefois les agents lui ont tout de suite dit que ça ne servirait à rien et que ce n’était pas dans son intérêt et ont pu continuer la conversation. Finalement, les policiers ont laissé de côté le respect puisque plusieurs de leurs questions étaient suggestives et accusatrices envers lui. Par exemple : « Vous avez 43 ans, pis vous courez avec un bâton pour faire peur aux enfants. Ça pas d’allure » ou encore « Ouin, si vous les poigner, c’est quoi vous allez faire » en lui insinuant que puisqu’il a un bâton il va les frapper. Ce genre d’attitude de la part des policiers détériore de beaucoup la communication en met le suspect sur la défensive. Celui-ci se sentira donc attaqué et obligé de se défendre.
J’écoute
Les policiers ont eu un bon sens de l’écoute. Je m’explique, ils ont toujours laissé l’homme parler sans le couper et par la suite revenait avec une question ou une opinion souvent relié avec ce que l’individu avait exprimé. Par exemple : les policiers lui demandent s’il a frappé quelqu’un avec son bâton. Il répond alors qu’il n’a pas frappé personne avec son bâton. Et c’est alors que les policiers lui demandent ensuite la raison pour laquelle il s’est enfui lorsque qu’ils sont arrivés. C’est ainsi qu’ils ont relié l’affirmation de l’homme et la question qui suit cette affirmation. Ils ont aussi participé de façon active en faisant des indications de compréhensions brèves, mais ce point sera traité plus tard dans mon analyse.
Je vérifie
Les policiers vont vérifier à quelque reprise s’ils comprennent bien ce que l’homme veut dire. Un bon exemple est lorsque Josée dit : « Avec un masque pis un bâton là ». Cette phrase va donc pousser l’homme à parler et à lui confirmer que c’est bien ce qu’elle pense. Dans ce cas-ci, elle veut la confirmation que l’homme voulait bien faire peur aux enfants avec un masque et un bâton. J’ai pu constater que les policiers ont senti que l’homme comprenait bien ce que les policiers voulaient lui dire puisque, lui aussi, faisait des indications brèves de compréhensions comme OK, oui je sais …

Je tiens compte de l’autre
Je crois que les policiers ont, dans un certain sens, tenu compte des raisons que l’homme avait de faire ce qu’il a fait, mais très peu. Je m’explique, il est important que la personne ne se sente pas trop attaquée et imbécile. Il est sur que dans cette situation, courir après des enfants avec un bâton n’est pas la meilleure chose à faire, toutefois les policiers, et surtout Josée, à plusieurs reprise a fait savoir à l’homme qu’elle le trouvait imbécile : « Vous avez 43 ans, pis vous courez avec un bâton pour faire peur aux enfants. Ça pas d’allure! » Il est bien qu’elle soit honnête et montre son point de vue, toutefois elle aurait aussi pu lui dire, tout en lui disant qu’elle n’approuve pas son geste, qu’elle comprend pourquoi il a agi ainsi. Bref, Josée n’a pas très bien agi dans cette intervention.
Mode de communication
Assertif
Dans cette intervention, j’ai constaté que Gino était plus actif que Josée. Gino a, selon moi, adopté une attitude plus assertive. Il a posé presque toutes les questions, n’avait donc pas peur de s’exprimer, communiquait efficacement avec le suspect en lui faisant bien comprendre ses intentions et avait une bonne confiance en lui. Cette confiance était perceptible pas son ton de voix qui était plutôt autoritaire, et par le fait qu’il était détendu. Il a eu un bon contact au niveau des yeux, notamment vers la fin lorsque l’homme était assis dans l’automobile et que le policier lui parlait. Son ton de voix était bien et le variait parfois en fonction des situations. Par exemple, au début lorsqu’il veut que l’homme pose son bâton à terre il a un ton de voix fort et très autoritaire et lorsque la situation devient sous contrôle il revient avec un ton neutre et une position corporelle détendue.
Agressif
J’ai pu aussi constater que Josée, au contraire de Gino, était plutôt agressive. Josée a presque exclusivement parlé en rabaissant le suspect et en le ridiculisant. Voici quelque exemple: « Je trouve que sa fait pas de sens votre affaire » ou encore lorsqu’elle dit « C’est pas ben ben intelligent ». Presque toutes ses interventions étaient pour le rabaisser ou, au début, pour lui dire de lâcher son bâton. Elle a fixé l’homme tout au long de l’intervention en le visant avec sa lampe de poche ce qui peux être perçu comme une attitude agressive par le suspect et ainsi le rendre plus agressif.
Espace
Les policiers ont en général gardé une distance d’environ d’un à deux mètres ce qui est un espace neutre et aussi sécuritaire. Cette distance était donc appropriée au début lorsque le suspect avait son bâton et n’était pas menotté. Vers la fin, lorsqu’ils ont enlevé les menottes ils étaient plus proches de l’homme et je crois que ça l’a aidé pour que le contact se fasse mieux et puisque l’homme était calme ce n’était pas très dangereux pour les policiers.
Empathie
Je crois que les policiers ont fait preuve d’empathie en relâchant l’homme puisque suite à la conversation, les policiers ont compris que l’homme était seulement tanné du bruit et qu’il voulait les apeurer. Ils ne lui ont pas dit, mais le fait de le libérer en est la preuve. Ils lui ont toutefois dit qu’il ne devait plus agir ainsi et que si ça recommence il y aura probablement des conséquences : « Si demain, on reçoit des plaintes comme quoi des jeunes se sont fait attaquer. »
Relance passive
Les indications brèves de compréhension
Tout au long de l’intervention, les policiers ont fait des gestes de la tête et ont exprimé verbalement leurs compréhensions. Par exemple : Lorsque le policier demande qui va se faire arrêter si les jeunes pensent que l’homme voulait les frapper et qu’il répond : « Naturellement c’est moi… ». Le policier va par la suite dire « Exactement ». Ceci a fait comprendre à l’homme que le policier avait bien compris. Ce genre de geste peut sembler anodin, mais va grandement rassurer les interlocuteurs et leur donner l’impression qu’ils se comprennent bien entre eux.

L’écho
Gino a fait de l’écho lorsqu’il a dit « Laquelle ruelle ». Je m’explique, auparavant l’homme a expliqué aux policiers que les enfants ne l’avaient pas vu et qu’ils étaient partis dans une ruelle. Le mot « laquelle » n’est pas très significatif et est parfois juste un réflexe de la personne qui ajoute un mot à la place de simplement dire « ruelle ». Le fait de faire de l’écho a emmené l’homme à en dire plus sur cette ruelle et à expliquer que celle-ci était juste au bout de la rue. Même si l’homme parlait quand même beaucoup, cette intervention était juste et a permis de situer la ruelle et permettra d’ajouter des détails au rapport des policiers.
L’attitude corporelle
Au niveau de l’attitude corporelle, les policiers ont surtout adopté une position autoritaire. Par exemple, après avoir menotté l’individu il était debout et le suspect assis par terre. Ceci peut être négatif, mais le suspect n’a pas semblé être gêné par cela. Les policiers ont parfois hoché de la tête et se sont penché pour bien comprendre et montrer qu’il écoutait le suspect. Un bon exemple serait quand l’homme était assis dans la voiture et que Gino était penché vers lui posant des questions et écoutant les réponses.
Relance active
La dédramatisation
Au niveau de la dédramatisation, les policiers en ont fait une vers la fin lorsqu’ils ont libéré l’homme : « Y’a pas d’accusation contre vous, on vous libère, vous êtes identifié ». Je crois que tout en le libérant, ils ont bien dédramatisé la situation en lui disant qu’il ne sera pas accusé de rien et qu’il n’a pas à avoir peur, mais ils lui ont quand même laissé savoir qu’il était identifié, ce qui veut dire que s’il refait un geste semblable, les conséquences risquent d’être plus graves. Je crois que cela enlèvera un poids que l’homme avait sur les épaules en se disant que ce n’est pas si grave, mais qu’il ne devra pas recommencer.

Le résumé
Au début de l’intervention, il y a eu un petit résumé de la part de Gino : « Vous avez dit qu’il y a des problèmes là, la police arrive, c’est le temps d’expliquer qu’il y a des problèmes, on est là pour vous aider. Vous vous sauvez au lieu. » Ce résumé a permis de situer le suspect dans l’intervention. Ceci a aussi permis au policier de savoir s’il avait bien raison puisque si quelque chose n’était pas vrai le suspect va le dire. En effet, la dernière phrase a été démentie par le suspect qui a expliqué qu’il n’a pas reconnu la police tout de suite et qu’il a eu peur. Ce résumé a donc permis de bien définir le problème et a en même temps transmis au suspect que les policiers étaient là pour l’aider.
La confrontation
La confrontation est un bon moyen pour éclaircir une situation qui nous semble invraisemblable. Lors de la scène policière, Gino demande au suspect pourquoi il s’est sauvé quand les policiers sont arrivés. Il répond qu’il ne s’est pas sauvé et c’est alors que Gino va le confronter : « Non, non quand on est arrivé sur le coin, je vous ai vu vous en allez. » Ceci fera donc parler le suspect d’avantage qui va tenter d’expliquer sa situation et va admettre plus tard qu’il est parti, mais qu’il n’avait pas l’intention de fuir les policiers. Bien utilisé, la confrontation permettra de démasquer quelqu’un qui ment et clarifier des situations ambigües.
Concrétisation
Il arrive souvent lors d’une conversation que celle-ci se dirige vers un autre sujet. Il est important de garder son objectif principal en vue et de revenir à celui-ci. Dans cette scène, Gino va s’éloigner un peu de son sujet lorsqu’il va dire : « Pis c’est quoi ça va faire, ça va jouer contre vous, y vont nous dire que vous les avez attaqués. » Gino s’éloigne un peu de son sujet vers une direction plus ou moins pertinente. Il va faire de la concrétisation en revenant à son sujet lorsqu’il va expliquer à l’homme qu’il est libéré.


Les types formels de questions
Question ouverte
Une question ouverte permet à la personne de répondre ce qu’elle veut et lui permet aussi de s’expliquer. Par exemple : « Qu’est-ce qui ont l’air », il donne donc au suspect la liberté de l’amplitude de sa réponse et par la suite le policier pourra très bien lui poser des questions sur ce qu’il vient de répondre pour avoir plus de précision. Dans ce cas-ci, il va ensuite lui demander ce qu’ils ont fait pour avoir sa version des faits et lui poser de plus amples questions sur ces actes.
Question fermée
-Au début de l’intervention, il demande au suspect : « Avez-vous frappé quelqu’un avec ça ». Ceci illustre bien une question fermée, le policier va généralement obtenir une réponse courte et précise. Dans ce cas-ci, le policier sait maintenant que l’homme n’a pas utilisé son bâton et cela va lui permettre de poursuivre son questionnement avec cette information en mémoire. Dans cette intervention, le policier va demander au suspect pourquoi il s’est enfui puisqu’il n’a vraisemblablement rien de grave à se reprocher. La question fermée a donc permis à Gino de repartir sur de bas solide pour une autre question ouverte.
Question multiple
Les questions sont généralement à éviter parce que la personne va souvent répondre partiellement, à une ou deux questions, et oublier les autres. Dans la scène que j’analyse, j’ai trouvé une question qui, selon moi, est multiple : « Pis c’est quoi que ça va faire, ça va jouer contre vous, y vont nous dire que vous les avez attaqués. » La raison pour laquelle j’ai perçu cette question comme multiple est parce que le policier aurait très bien pu les poser une après l’autre et aurait pu avoir des réponses différentes pour chacune. L’homme répondra seulement à la dernière affirmation en disant que non ils ne diront pas qu’il l’a attaqué puisqu’il ne l’on pas vu. Les deux questions précédentes sont donc restées sans réponse.

Question suggestive
Les questions suggestives sont à éviter, mais Gino en a formulé une que voici : « Non, pis eux autres si y pensent que vous allez les frapper, pis y nous appellent, c’est qui va se faire arrêter ?» Le suspect va donc répondre dans le sens de la question en disant que naturellement ça sera lui qui sera accusé. Le policier n’a rien su de nouveau en posant cette question et les informations données ne sont pas objectives. Une question de désirabilité sociale est très néfaste pour la communication, car elle a souvent un ton accusateur ou moralisateur comme celle-ci : « C’est pas ben ben intelligent ». Dans ce contexte l’homme se sent rabaissé et la policière n’a donc pas de respect pour l’homme. L’homme va dire en effet, que ce n’est pas intelligent, mais ça n’aura pas fait avancer la conversation. Ce genre de question aurait pu rendre l’individu agressif et nuire beaucoup à la conversation.
Pour conclure, cette intervention s’est bien déroulée. Je crois que Gino a bien su maîtriser la situation et a réussi à tenir l’homme calme et posant de bonnes questions qui l’a aidé à bien comprendre la situation. Josée quant à elle a été peu active et a surtout émis des commentaires qui ont nui à l’intervention. L’homme s’en est sorti libre et, grâce à Gino, a bien compris que son attitude n’était pas la bonne.



Last edited by K!ll3R on Wed Nov 12, 2008 6:26 pm; edited 2 times in total

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26Homework! - Page 2 Empty Re: Homework! Wed Nov 19, 2008 5:56 pm

Kinsler


Quake III Member
Quake III Member

u wan me 2 traduce the whole thing
yes i can but i dont want Very Happy lol! that rhymes lol!



Last edited by Kinsler on Fri Nov 21, 2008 4:05 pm; edited 1 time in total

27Homework! - Page 2 Empty Re: Homework! Wed Nov 19, 2008 6:11 pm

Cap'n jack Sparrow

Cap'n jack Sparrow
Im here fairly often!

God someone get turtle here to translate this o.o

28Homework! - Page 2 Empty Re: Homework! Wed Nov 19, 2008 6:12 pm

YeTi

YeTi
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K!ll3R wrote:so did someone understood it?

good grammar, idiot

29Homework! - Page 2 Empty Re: Homework! Wed Nov 19, 2008 7:30 pm

K!ll3R

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idc grammak k?!

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30Homework! - Page 2 Empty Re: Homework! Wed Nov 19, 2008 8:15 pm

YeTi

YeTi
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K!ll3R wrote:idc grammak k?!

apparently, you don't care about spelling either... Rolling Eyes

31Homework! - Page 2 Empty Re: Homework! Wed Nov 19, 2008 8:20 pm

K!ll3R

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omg fu with ur spelling shit... im just too lazy to read my own words...

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32Homework! - Page 2 Empty Re: Homework! Wed Nov 19, 2008 8:22 pm

YeTi

YeTi
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HAHAHAHA..killer, admit it...i just pwned u TWICE!!! bwahahh Homework! - Page 2 988445

33Homework! - Page 2 Empty Re: Homework! Wed Nov 19, 2008 9:09 pm

K!ll3R

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lmao no... you are just a naab who look for errors in my posts... ass!

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34Homework! - Page 2 Empty Re: Homework! Thu Nov 20, 2008 6:31 pm

YeTi

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K!ll3R wrote:lmao no... you are just a naab who look for errors in my posts... ass!

looks*......lolololololol

35Homework! - Page 2 Empty Re: Homework! Thu Nov 20, 2008 8:53 pm

K!ll3R

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You are a stupid english teacher!

You suck all the time *pWp*B|K*'s dick.

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